Laboratoire

Pot pour essence de plante de tabac

On propose d’expérimenter le lien entre la mémoire et l’arôme, en tenant compte de la capacité que présente le sens de l’odorat à activer la première.

/Vídeo 1 y 2/ Rentas de tabaco. Fragments du documentaire. Avec le consentement Mediateca del Ministerio de Agricultura, Alimentación y Medio Ambiente

Après une première analyse des objets qui ont fait partie de l’intérieur du bâtiment de Tabakalera, on propose en mars 2015, à l’occasion du 3ème Appel à Projets ouverts d’Hirikilabs du Centre international de Culture contemporaine Tabakalera, de récupérer l’odeur du tabac dont certaines personnes résidant dans la zone du quartier d’Egia se rappellent encore.
Pour cela, on propose d’abord de construire un distillateur pour pouvoir extraire l’huile essentielle de cette plante et un deuxième atelier où cette huile est transformée en essence pour l’utiliser comme désodorisant dans le bâtiment en question.

Même si le projet n’a finalement pas été sélectionné pour être réalisé à Hirikilabs Plaza, une partie de ce dernier a été exécutée. On a construit le récipient pour l’huile essentielle en combinant des techniques aussi bien traditionnelles que numériques. Une fois le modèle et
le dessin en 3D réalisés, le récipient en ABS a été imprimé à Hirikilabs. En utilisant ce pot comme modèle, on a confectionné le moule en plâtre.
Ensuite, on a appliqué la technique de la céramique coulée. Les pots ont été biscuités à 980 degrés centigrades, émaillés au pistolet et à nouveau cuits à 1250 degrés.

Ensuite, on a appliqué la technique de la céramique coulée. Les pots ont été biscuités à 980 degrés centigrades, émaillés au pistolet et à nouveau cuits à 1250 degrés.

Plâtre pour le moule
Porcelaine en poudre
Émail réalisé par Zeramix

Consultations
(Aromathérapie)
(Parfumeur)

Quantité

Plusieurs pièces
Dossier numérique du pot en format open source sur Hirikilabs